L’apitoiement et l’individualisme veulent que vous deveniez amis avec eux en mettant vos bras autour de leurs épaules et en les traitant comme des copains que vous avez retrouvés. C’est une ruse ; les deux sont retors, leur plan est de vous isoler et d’intensifier votre sentiment de solitude. Ils veulent que vous ayez des attentes irréalistes des autres de sorte que vous ne soyez pas satisfait(e) et que vous vous sentiez aliéné(e)s par ceux qui sont dans votre vie. L’apitoiement et l’individualisme ont des voix fortes et ils aiment se répéter. Voici quelques-unes des phrases qu’ils pourraient vous dire : Si un autre membre de la famille ou de mes amis était atteint(e) par l’hypertension pulmonaire, je serais toujours là pour eux – comment se fait-il qu’ils ne sont pas là pour moi ? La vie est injuste - pourquoi est-ce que j’ai eu cette maladie, pourquoi suis-je le/la seul(e) qui à souffrir ? Pourquoi est-ce que je ne reçois pas l’aide dont j’ai besoin ? Est-ce qu’ils ne voient à quel point je lutte contre la maladie ? Pourquoi est-ce qu’ils ne me posent pas des questions à propos de ma santé pour m’aider à m’exprimer plus facilement ? Regardez tout ce que à quoi je dois faire face dans une journée ! Je devrais obtenir plus de soutien et d’aide. Les phrases ci-haut ne sont que quelques exemples ; il y a beaucoup plus parce que l’apitoiement et l’individualisme sont créatifs dans leur façon de se faufiler dans les situations quotidiennes. Par exemple, ce peut une journée plus difficile lors de laquelle la maladie vous empêche de respirer et de vous déplacer librement ; au lever, vous vous sentez fatigué(e) déjà. C’est comme si vous portiez un lourd sac à dos plein de pierres sur votre dos. Vous vous sentez impuissant(e) et dépassé(e). C’est alors que l’individualisme vous indiquera que les gens autour de vous vous doivent du soutien, que quelqu’un d’autre devrait faire en sorte d’améliorer votre vie. L’individualisme dit que quelqu’un d’autre doit se responsabiliser : « Il ne faut pas que ce soit mon problème à moi seul(e), je vais donc attendre que quelqu’un d’autre s’en occupe ». L’individualisme est mauvais ; chaque être humain est invité à prendre pleine responsabilité des situations dans leur vie. C’est un choix difficile, mais c’est le meilleur choix que nous pouvions prendre car il est seulement en prenant conscience de notre responsabilité que nous pouvons grandir et guérir émotionnellement. Quand nous blâmons les autres ou attendons qu’ils s’occupent de nous, notre guérison émotionnelle s’arrête. On peut passer sa vie entière à attendre que quelqu’un d’autre nous guérisse intérieurement, que ce soit un(e) ami(e), un(e) membre de la famille ou un(e) thérapeute. Personne d’autre ne peut nous guérir, pas même le meilleur thérapeute au monde. C’est seulement nous qui connaissons notre monde intérieur et seulement nous qui pouvons effectuer les changements en choisissant de nous développer lorsque la souffrance est élevée. Ce n’est pas facile, en fait, c’est insupportable à certains moments, mais c’est effectivement la seule façon d’avancer si nous ne voulons pas être coincé(e) dans la colle pendant des jours, des mois, des années et même des décennies de notre vie.
L’apitoiement et l’individualisme veulent que vous deveniez amis avec eux en mettant vos bras autour de leurs épaules et en les traitant comme des copains que vous avez retrouvés. C’est une ruse ; les deux sont retors, leur plan est de vous isoler et d’intensifier votre sentiment de solitude. Ils veulent que vous ayez des attentes irréalistes des autres de sorte que vous ne soyez pas satisfait(e) et que vous vous sentiez aliéné(e)s par ceux qui sont dans votre vie. L’apitoiement et l’individualisme ont des voix fortes et ils aiment se répéter. Voici quelques-unes des phrases qu’ils pourraient vous dire : Si un autre membre de la famille ou de mes amis était atteint(e) par l’hypertension pulmonaire, je serais toujours là pour eux – comment se fait-il qu’ils ne sont pas là pour moi ? La vie est injuste - pourquoi est-ce que j’ai eu cette maladie, pourquoi suis-je le/la seul(e) qui à souffrir ? Pourquoi est-ce que je ne reçois pas l’aide dont j’ai besoin ? Est-ce qu’ils ne voient à quel point je lutte contre la maladie ? Pourquoi est-ce qu’ils ne me posent pas des questions à propos de ma santé pour m’aider à m’exprimer plus facilement ? Regardez tout ce que à quoi je dois faire face dans une journée ! Je devrais obtenir plus de soutien et d’aide. Les phrases ci-haut ne sont que quelques exemples ; il y a beaucoup plus parce que l’apitoiement et l’individualisme sont créatifs dans leur façon de se faufiler dans les situations quotidiennes. Par exemple, ce peut une journée plus difficile lors de laquelle la maladie vous empêche de respirer et de vous déplacer librement ; au lever, vous vous sentez fatigué(e) déjà. C’est comme si vous portiez un lourd sac à dos plein de pierres sur votre dos. Vous vous sentez impuissant(e) et dépassé(e). C’est alors que l’individualisme vous indiquera que les gens autour de vous vous doivent du soutien, que quelqu’un d’autre devrait faire en sorte d’améliorer votre vie. L’individualisme dit que quelqu’un d’autre doit se responsabiliser : « Il ne faut pas que ce soit mon problème à moi seul(e), je vais donc attendre que quelqu’un d’autre s’en occupe ». L’individualisme est mauvais ; chaque être humain est invité à prendre pleine responsabilité des situations dans leur vie. C’est un choix difficile, mais c’est le meilleur choix que nous pouvions prendre car il est seulement en prenant conscience de notre responsabilité que nous pouvons grandir et guérir émotionnellement. Quand nous blâmons les autres ou attendons qu’ils s’occupent de nous, notre guérison émotionnelle s’arrête. On peut passer sa vie entière à attendre que quelqu’un d’autre nous guérisse intérieurement, que ce soit un(e) ami(e), un(e) membre de la famille ou un(e) thérapeute. Personne d’autre ne peut nous guérir, pas même le meilleur thérapeute au monde. C’est seulement nous qui connaissons notre monde intérieur et seulement nous qui pouvons effectuer les changements en choisissant de nous développer lorsque la souffrance est élevée. Ce n’est pas facile, en fait, c’est insupportable à certains moments, mais c’est effectivement la seule façon d’avancer si nous ne voulons pas être coincé(e) dans la colle pendant des jours, des mois, des années et même des décennies de notre vie.